Les pattes de fixation sont métalliques et peuvent être renforcées, en cas d'emploi de tôle de faible épaisseur, par la mise en forme d'une ou plusieurs nervures en angles ou par un gousset rapporté.
L'une des branches de la patte de liaison constitue l'aile d'appui sur la structure porteuse, l'aile d'appui pour le chant du cadre dormant de la fenêtre. Les ailes comportent des usinages (trous, lumières, crevés,...) permettant leur fixation au support et leur réglage.
La résistance admissible des pattes de fixation, en tenant compte de l'emplacement de leurs fixations, doit être au moins égale à la charge maximale supportée en oeuvre.
Cette résistance admissible doit être marquée sur les pattes.
Le fournisseur des pièces doit être en mesure de fournir les justificatifs expérimentaux (obtenus à l'aide d'appareils étalonnés par un organisme agréé) permettant de déterminer la résistance admissible de ces produits.
Note : L'annexe G du NF DTU 36.5 P1 - 1 (CCT) propose une méthode de détermination de la résistance admissible de ces pattes et un principe de calcul de la charge maximale estimée supportée en oeuvre.